Le marché en grandes lignes
- « Mondialisation heureuse » : l’engouement est toujours aussi fort pour les emplacements numéro un du commerce parisien, qui fonctionnent à plein avec la clientèle internationale.
- Cette demande encourage une pression constante sur les prix : les loyers de commercialisation des boutiques affichent ainsi des hausses de 50 à 60% sur certaines artères à succès.
- Le phénomène d’envolée des prix reste néanmoins circonscrit aux seuls « grands noms » des rues commerçantes et à quelques étoiles montantes, qui ont confirmé leur réussite tout au long de l’année 2014.
- Le marché des commerces est en effet profondément hétérogène : les conditions sont difficiles pour les emplacements numéro deux, confrontés à la stagnation de la consommation nationale depuis près de huit ans.
- Preuve des écarts grandissants sur ce marché : l’envolée observée sur certaines artères n’empêche pas le loyer de commercialisation moyen d’être à la baisse à Paris.
- L’année 2015 s’annonce plus favorablement et pourrait donner un bol d’air aux emplacements numéro deux. Les tendances favorables qui se dessinent restent toutefois à confirmer.
- Du côté des emplacements numéro un, l’optimisme est encore plus clairement de mise : l’année 2015 n’annonce aucune ombre à leur succès.
Tendances
Le sérail : lieu restreint, d’accès difficile, où se nouent de nombreuses relations, se dessinent les tendances, se prennent les décisions et se font les affaires.
Plus que jamais à Paris, en ce début 2015, appartenir au sérail s’impose comme la clef de la réussite sur le marché des commerces. Pour le plus grand plaisir des uns. Mais pas pour celui des autres.
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